L'ACCIDENT DE VOITURE
Le Samedi 13 septembre 2025 par christophe simoni
Y10
Dans une autre vie, plus jeune et plus effronté, j'ai vécu une expérience, hors du commun qui heureusement, ne devait pas porter à conséquence. En mars 1989, pour être très précis, en sortant, un soir, pour me rendre dans les quartiers du centre de la capitale, j'avais mes habitudes et un vendredi soir avec des amis, nous nous donnons rendez-vous au Piano Vache, un bar pitoresque près du Panthéon dans le cinquième arrondissements. Ce soir-là, j'ai la chance de disposer d'une voiture, en l'occurrence, une petite Lancia appartenant à ma mère, le modèle Y10
Piano Vache
Arrivé sur place, je consomme une bière et retrouve des connaisssances dans une ambiance festive où tout le monde, s'adresse à tout le monde dans une atmosphère conviviale et détendue. Puis, alors, que je suis au bar, je rencontre un couple, un tout petit peu plus jeune que moi et "en tout bien tout honneur", tous les trois, nous entamons, une conversation. Après une discussion tout à fait normale, je leur propose de les raccompagner chez eux en voiture, chose qui m'apparaît comme incongrue, aujourd'hui, mais après tout, pourquoi pas...Ils acceptent et nous voilà partis. En bas de leur l'immeuble, ils me proposent de monter dans leur appartement et j'approuve. J'ai bu mais je ne suis pas ivre et tout va encore bien. A leur domicile, ils me proposent de boire un verre de bourbon (une sorte de wisky) du Jack Daniels, très exactement. Je bois une gorgée, puis dans la foulée, je termine le verre car je sens que quelque chose ne va pas, je ne me sens pas bien. Je tourne les talons et je m'éclipse rapidement. Je suis dans le 15ème arrondissements de Paris et je retourne chez moi, Porte de Champerret. En voiture, je conduis vite, mes idées s'enchaînent les unes après les autres à la vitesse grand V et je prend la direction de ce que l'on appelle les boulevards des maréchaux, (les boulevards extérieurs) ce sont les grandes avenues qui entourent l'ouest de Paris. Je ne sais pas pourquoi, en cherchant à éviter les feux rouges, je prends un chemin paralèle dans des rues entre des jardins et les immeubles et quand j'arrive sur ce que je crois être un carrefour, je me rends compte que c'est en fait une sorte de place, un rond-point. Je freine, mais trop tard et je grimpe sur le terre-plein, les deux roues avant sur une sorte de trottoir. Le choc est violent, mais à cette heure, il n'y a aucune circulation importante et je reste seul dans la nuit et là je comprends que cela aurait pu être pire. Après une manoeuvre difficile, je recule et je trouve une place où me garer. La voiture endommagée reste immobilisée et je sors du véhicule, je croise, à cet instant, deux policiers en patrouille à pied, ils me demandent si tout va bien; je réponds que oui. Fin de parenthèse. Je n'ai rien, je suis indemne et j'ai cette chance. Il est une heure du matin, je rentre à pied, Porte de Champerret (à suivre)
Pas un fanfaron
Le lendemain samedi, je téléphone à mon père et je lui raconte l'incident. Il rentre à Paris le dimanche et nous irons sur place, pour constater l'état du véhicule. L'attitude au sein de ma famille, après l'accident, a été extraordinaire, de l'un, en ce qui me concerne, il ne s'agissait pas de faire, ni le fanfaron ni surjouer un drame qui aurait pu être bien plus terrible. Donc, je n'en menais pas large et je n'étais pas, vraiment fier de moi avec cet évènement en ayant pas vraiment fait la conclusion de ce qu'il fallait en retenir, vraiment. Mes parents et mon frère n'ont pas voulu exagérer avec une ridicule réprimande ou quelques reproches. J'étais vivant, il fallait s'en satisfaire avec ce moment qui était important dans ma vie. La confiance qui régnait dans la famille, ne pouvait être remis en cause et l'essentiel portait sur la cohésion des uns et des autres. C'était assez fin comme réaction et depuis, je n'ai jamais eu d'autre accident de conduite avec une voiture que celui-ci. Le maître mot de ce type d'évenements dans une famille peut être traumatisant dans une famille à peu près saine et la tactique a été de dédramatisé la situation et je peux même supposer que déjà cette volonté s'orchestrait avec un autre objectif plus lointain.
"Artificielle"
Je sais tellement m'en souvenir que je vais vous expliquez ce qu'il s'est déroulé dans mon dos à cette époque et j'espère que ça va faire réfléchir, les abrutis et les roi de la gachette. Surtout s'ils ont l'ambition de vouloir recommencer ce genre de stratagème à deux balles. Mais revenons sur ce détail de la troisième guerre mondiale. Donc, nous sommes en mars 89 et cela fait 29 mois que je suis de retour de New york (août 1987 date ou j'aurais été empoisonné avec une maladie pénible et surtout tout à fait "artificielle").
Ivan, encore lui
Ce qu'il faut retenir c'est qu'à l'époque, je sors avec une fille Sophie t. depuis octobre 1988 et elle joue un jeu très trouble, je rappel au passage qu'elle fréquentais la petite planète de la télévision et qu'elle fait dans l'aurore boréal sexytonique et que je suis certain qu'elle a déjà fait le tour de ma planète avec des gens autour de moi avec l'accord de f. mitterrand ou de J. chirac. En tout cas, elle marche en paralèle pour hachette, matra, lagardère et la préfecture de police. Et c'est Fred m. qui va me la mettre dans mes pattes, le fameux fred qui lui, me fera rencontrer Ivan. Ivan le nuisible celui qui va provoquer au moins une Tentative d'homicide volontaire me concernant (année 2021 ou 2022). Et qui est un dangereux facho de première et une sorte de psychopathe. Ils n'arriveront pas à m'avoir, mais j'ai eu de la chance
Champerret's Beach
Donc, aprés mon retour porte de champerret aux alentours de 2 heures du matin et après l'accident de voiture. Sophie t. attend gentillement mon arrivée devant l'entrée de l'appartement, rue jean moréas. Je lui raconte ma soirée en détail: le piano vache (un endroit très marqué à gauche); le couple de jeunes; l'appartement; l'accident et mon retour. Et là, ce qui se trâme dans mon dos, c'est le fait qu'ils vont s'emparer (l'extrême droite, et la droite) de ce triste épisode pour me mettre une "mise en cause" sur le dos dans une affaire de stupéfiant. Je n'ai pas été entendue par la police et je suis à l'époque un petit consomateur de cannabis, sans excès. Mais ce trucs va me prendre dix ans de ma vie. Néanmoins il semblerait que sophie t. va faire un faux témoignage en racontant qu'elle était dans la voiture et que je conduisais et que j'étais sous l'emprise de drogue dure (coke, héroîne, etc etc ?) Ce qui est faux, en tout cas, dans la bouteille de Bourbon, peut-être y avait t-il un mélange de ce genre de saloperie mais en tout cas, je l'absorbe sans savoir ce que contient réellement la bouteille et ma conduite prouve que le produit était très puissant. Son témoignage en disant qu'elle se trouve dans la voiture est faux, évidemment et j'étais sous l'emprise d'un sale drogue contre mon gré, forcément et conclusion, elle a mentit en soutenant l'idée que je l'avais mise en danger dans la voiture, tout ça avec l'aide de ses probables nuisibles de service avec une procédure apprise par coeur auprès de la police ou de la justice ce qui m'obligera à devoir fréquenter des psychiatres comme le fil à la patte d'un caméléon. Pendant des années et des années ça va durer et je n'en suis pas encore sorti de ces bétises et les médecins par cynisme n'ont jamais voulu me faire éviter jusqu'à présent. A partir de décembre 2021, là j'ai le droit d'arrèter l'alcool, sinon j'ai drois à un cancer du foi, super... Après avoir vécu un mini AVC en Septembre 2021 (probablement dû à une tentative d'homicide volontaire) Je ne sais pas encore à quoi m'attendre être guillotiné peut être... Miais ce que viens d'exprimer n'est ce pas votre histoire que vous avez pu lire ici bas, dans les grandes lignes ? Une telle injustice de ce type ?
L'insomnie de rigueur
Au mois d'avril 1989, commence la pire des situations car pendant 8 jours, je ne dormirais plus que 2 heures par nuit car je ne trouve le sommeil qu'à partir de 6 heures du matin et à 8 heures, je me reveil. Je dors dans ma chambre de bonne du 6, rue jean moréas, porte de champerret. Il est très probable que pendant mon abscence la moquette a été saupoudré de poudre de meta-amphétamine ou son équivalent (drogue de synthèse qui empèche de dormir et fait cogiter les méninges) et au petit matin à bout de force, je m'endors. Après le bout des nerfs en une semaine ma mêre s'inquiéte d'une situation auquelle je suis confronté et elle va sur les conseils "d'amis" me trouver un psychiatre. Je rencontre le docteur Geneviève c. où ça ? Bah à Neuilly sur Seine, bien sûr et avec des médicaments tout va mieux, évidemment... Et comme si ce n'était pas suffisant ça va durer 35 ans la plaisanterie, forcément, sans oublier le nettoyage de la moquette
Gégé Frontal
Mais ce n'est pas tout. Pendant ce temps d'avril à juin, je continu à fréquenter sophie t. Et un jour, elle me donne rendez-vous dans un appartement à Courbevoie (d'une "amie"). Ca se trouve à l'ouest de paris près de la défense juste à coté de : "Neuilly sur Seine" pour changer et rétrospectivement, il y a fort à penser que cet appartement était le domicile d'un général de l'armée de terre qui est mort depuis et si vous êtes gentil, je vous dirais son nom en le chuchotant dans votre oreille, histoire de savoir si vous avez encore son nom et son numéro de téléphone dans votre répertoire téléphonique. Son nom commence par G et se termine par E. Non pas George ! Mais presque et la dame est toute propre comme jamais depuis l'incendie de Pâques à Noël, allélouia, il est né le divine enfant...mais dites moi il est né en Pologne ou au usa ?
L'idiot du village
J'ai toujours gardé cet épisode en tête pendant des années, pourtant, je n'avais pas réellement compris comment était arrivé une telle situation. A l'époque des faits, en mars, je ne vivais pas encore avec des médicaments au quotidien et après mûre réflexion, je peux, ici et aujourd'hui affirmer que j'ai été drogué contre ma volonté. En tout cas, avec un produit chimique qui, à cette occasion a transformé mon état psychique et ma perception des choses pendant une heure. Je n'ai jamais recroisé le petit couple du Piano Vache et c'est après avoir arrêté la moindre goutte d'alcool avec les médicaments en 2021, que j'ai fini par comprendre l'enchaînement de la séquence; la synthèse de l'évènement, le déroulé de cette histoire qui aurait pu s'achever définitivement sur ma mort. J'avais eu affaire à des barbares organisés et je me laisse supposer que c'était une action préméditée de l'extrême droite (j'en parle dans mes textes avec "ivan, le nuisible"). Comprenant l'effet et la cause; me souvenant de Laurent b. et du Jack Daniels; de la pièce de théatre et du film "Les clefs de voiture" aujourd'hui, c'est limpide et avec Laurent et d'autres ceux qui savaient, ils ont réussient en toute connaissance de cause à gagner de l'argent avec ce qui les ont inspirer à l'époque et de celle-là, je ne suis pas près de l'oublier concernant ma vie car je saurais m'en souvenir.
CS-13/09/2025
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