Le compte à rebours
A l'origine, après la seconde guerre mondiale, les américains et les anglais se détournent de l'indstrie lourdes et vont commençer à investir beaucoup dans l'électronique avec l'envie de transformer le monde. En Europe, notre stratégie sera tout autre et maintenant nous n'avons rien qui puisse nous faire rougir avec la situation présente. Alors que le souhait hégémonique des usa ne va pas cesser de faire des erreurs (Corée, vietman afganistan, etc etc) et puis surtout avec une prétention incroyable et maladive. Pour ma part, lors de mon second voyage là-bas en 1987, je rentre et je fais escale à New York. Le jour même, je suis empoisonné lors d'une soirée, 30 mois plus tard, des symptômes apparaissent. Ensuite, je ne dors plus pendant plusieurs jours et je vais rester malade encore aujourd'hui à grand renforts de médicaments. Merci Donald Reagan, j'ai sû m'en souvenir et je trouve cette conduite à mon égard bien lâche.

La tentation
Dis moi, Donnie, vous avez les moyens de vos ambitions ? Car si j'ai bien compris, tu lâches l'Ukraine, tu taxes nos produits, tu nous critiques et tu passes ton temps à nous mettre du poil à gratter dans le dos quand l'ont bricolent tranquillement dans notre coin sur nos ordinateurs. Mais cette situation c"était au mois de mars et aujourd'hui les médias nous font vivre encore autre chose en Iran et au dessus du ciel hébreur et le reste du monde achétent du windows et du apple à un prix extravagant, n'est-ce pas ? Nous; nous nous sommes adaptés et nous faisons face puisque, tu lâches militairement l'ukraine. Ca ne me plait pas. Ni moi, ni les autres. Remarques c'est vrai ma démarche est osé et je ne suis rien, même pas chef d'état mais avec un sacré média. Et toi, tu es pressé. Dans ces conditions, il faut aller calmer les russes, tu t'en charges ? Mais est-ce que les rapports sont bons avec eux ? Nous l'ont vous a proposés "deux trucs" et puis vous avez refusés tout en bloc pour un zéro au final. Dans ces conditions tout est à revoir, il faut le comprendre. L'europe, un seul numéro, le mien.