Le rêve américain
En 1986, le sport tient une place importante dans ma vie. Je suis un adepte du skateboard car j'étais envouté par les images des magazines américains de cette discipline sportive. Je vais donc effectuer mon premier voyage sur la côte ouest des états-unis d'amérique, en californie. Enthousiate, le séjour s'achève avec rien à signaler de particulier.

New-York 1987
En 1987, je retourne aux USA et fin août, grâce à l'un de mes contact là-bas, je séjourne 3 jours à New-york. Lors de mon arrivée dans la ville, David b., le type qui m'héberge, m'enmêne dans une "petite fiesta" à Manhattan. Arrivé sur place, l'on me propose de gouter à un champignon hallucinogène, une sorte de truc organique qui n'est pas bon et qui sent le pourri. Ca agit et me fait l'effet d'une drogue banale. Je termine la soirée un peu perché mais rien de très frappant. Je laisse New-York et rejoins Paris, sans problème.

En Avril 1989 à Paris
Trente mois plus tard, très exactement, après mon passage New-Yorkais, nous sommes en mars 1989, ma petite amie s'appelle Sophie t. c'est conflictuel mais c'est si bon et ça dure six mois. Début avril, mon sommeil est perturbé, plusieurs jours de suite. Je ne dors que 2 heures par nuit, je deviens irrascible, colérique, sur les nerfs en permanence. Je fini par me rendre chez un psychiatre, je prends des médicaments et mon sommeil s'améliore. En paralèle, pendant plusieurs années à ce régime, tout ne va pas trop mal. Si j'arrête le traitement, mon état de santé retourne dans le rouge. Et donc, je suis atteint en devenant un véritable danger pour moi (Mais pas violent du tout, pour autant). Pendant plusieurs années, je vais continuer à prendre des stupéfiants et de l'alcool avec les médicaments, ce qui n'arrange rien, bien au contraire. Les médecins ne me repproche rien, ils n'aborderont pas le problème des mélanges explosifs. En 2006, dépendant désormais du service public, les médecins font un diagnostique et donne un nom à mon comportement: La schizophrénie. La belle affaire, je suis rentré dans le bureau d'un psychiatre avec un problème de sommeil qui s'arrange avec des cachets, je sortirai de la consultation en 2006 avec un post-it sur le front sur lequel est inscrit: malade mental actuel et en devenir. "Super... quel chemin de vie merveilleux et bravo la science". Il y a tout à penser que j'ai été empoisonné par les américains avec leur champignon maudit et tout ça sent très mauvais. A cet époque, Ronnald Reagan est président au USA et françois Mitterand est le président de la république en france. J'ai peut être fait l'objet d'un échange avec pépin à terme. J'aurai peut être pu avoir le sida, non j'ai eu droit à autre chose et il est même possible que mon sort était déjà réglé et que le tir venait de france. Les médecins en france m'ont laissé tomber pendant 35 ans, mais je ne suis pas mort. De part le fait que les intèrêts américain sont une réalité en europe, personne n'a fait attention à un petit minable avec son petit site internet et son petit problème dans la toute puissance américaine.

Décembre 2021, en finir avec l'alcool
L'histoire est bien plus complexe que toute ces petites lignes dans un site Internet, il y aurait tant à dire, mais hélas, je ne peux me perdre dans les détails. Un jour, un livre peut être...En 2021, à cette époque, j'ai le choix entre vivre et mourir. L'équation est simple, soit j'arrête l'alcool et les produits illicites, même en petite quantitée, soit, je risque d'avoir un cancer du foie. C'est ce que m'annonce mon médecin traitant. Ca peut aller très vite mais pas suicidaire et stabilisé, je décide d'arrêter l'alcool, le reste (cigarette et cannabis), cela fait plus de douze ans que c'est un vieux souvenir sans dérapage. Je suis un miraculé. Le plus étonnant, c'est le fait de ressentir un nouvel élan comme en ayant un nouveau cerveau, plus performant, plus efficace, meilleur. Tout va mieux, à partir de janvier 2022 dans ma tête avec une personnalité qui redevient presque celle que j'avais laissé, en 1989 (avant les premiers mélanges alcool/drogue/médicaments). Désormais, les responsables, je les soupçonnes car dans mon histoire, ce n'est pas forcément lors de mon escale à New York que j'ai été empoissonné avec un champignons. En fait, c'est plus probablement à Paris, en mars 1989, en présence de laurent f. Sophie t. moi et une autre fille que je ne saurais identifier. Si j'ai été empoisonné en mars 1989, la version New-Yorkaise ne tient plus la route. Lors de cette soirée à Paris, c'est laurent f. qui veut me faire goutter un gateau au cannabis. Pas méfiant, je vais manger le gâteau, ne sachant pas ce qu'il contient. Le reste repose sur des années de soucis en tous genres et accompagné par des soins réels et coercitifs, pendant qu'à Paris, la croisière s'amuse en piratant mon ordinateur à distance et Laurent f. encore lui, vient faire le ménage dans mon pc et se sert comme s'il était chez lui... Cette version est plausible mais je n'ai pas eu l'occasion de la vérifier, ça m'a l'air surtout assez tiré par les cheveux.

Pourrit jusqu'à l'os
Heureusement, les bons soins de ma famille et de certain médecin qui ont pratiqués le mensonge par omission, va me sauver. Parti comme je l'étais, en 1989, mon temps était compté si je n'avais pas quitté Paris en 1997. Pour autant, parce que j'ai été probablement empoisonné avec autre chose que du cannabis, la maladie telle qu'elle est présentée par les professionnelles de santé est un marché de dupe. Une fable qui entretient un système nauséabond où tous les coups sont permis. Par ailleurs, j'ai fini par comprendre que dans la famille de laurent f. il y avait quelques fonctionnaires, dont peut-être, un ex-commandant de gendarmerie en fonction dans les années 1980 à Aubervilliers (l'oncle de laurent). Et là, ce côté, "je viens faire le ménage chez toi" trouve toute son explication. Comme pourris, laurent f. je n'ai jamais rencontré mieux. Si cette version s'avère la plus définitive et la bonne, il n'y a pas à en douter. Je rappel au passage qu'en mars et avril 2022 meurt mon frère et mon père à quinze jours d'intervales, est-ce une coincïdence troublante ? Trois mois plus tard va commencer la chasse au perdreau de l'année et je manque de mourir plusieurs fois encore. Coîncidence ? Bizarre très très bizarre.

Séquelles ?
J'aurais pu y laisser la vie, j'y ai laissé entres autres un peu de ma santé, mais j'ai eu aussi de la chance et je reste, encore sur mes gardes. Me tuer ou me neutraliser devait être l'ambition de quelques crétins que j'ai pu croiser dans mon parcours en cherchant à me porter préjudice et vivre et mourir dans la haute société est une réalité à Paris. Et il est fort possible que cette histoire en dit beaucoup sur toutes ces années et il y a des choses importantes dans mon récit et là, je ne plaisante pas; Non vraiment, je n'ai pas envie de plaisanter et maintenant je suis devenu une sorte de Navalny encore en sursis mais pour encore combien de temps ? Et depuis quand à Tel-Aviv, ils pensent avoir tous les droits ?

CS-15/06/2025