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LA NUIT DU COUTEAU
par christophe simoni (authentique)

Il est temps de revenir sur une période charnière dans ma vie. Mes six mois avec Sophie t. qui, élément troublant va interférer pendant de très longues années et provoquer, peut-être mes premiers contacts avec les insomnies à partir de mars 1989 quand je ne dors que 2 heures par nuit. Toute cette période est racontée d'octobre 1988 à mars 1989 et elle est authentique. Ce texte a été écrit, il y a quelques années et il semblerait que la fameuse Sophie t. fait entendre à qui le veut bien que c'est moi qui l'ai menacé avec un couteau de trente centimètres au sixième étage du 6, rue Jean Moréas à Paris. Or c'est faux, c'est bien elle qui dans un accès de folie va chercher le couteau dans la cuisine et le brandit devant moi. Je réussis à faire baisser la tension et le possible drame est écarté.
Plus tard, elle et Fred m. iront jusqu'à me dérober des documents originaux concernant le skatezine "GRAVE" dans ma chambre et quelques photos de moi. Dérisoire mais ça en dit long...

Sophie

Souvent, nous avions l'habitude de nous retrouver à trois, Fred m., Sophie t. et moi et pas un instant, je ne pouvais imaginer une relation intime avec elle. Nous n'avions pas discuté avec Fred sur le fait qu'ils étaient, oui ou non ensemble et le socle de leur union, je ne le connaissais pas. Elle suivait un cycle d'étude de communication, de commerce et de marketing avec fred dans un IUT, avenue de versailles, mais habitant à Courbevoie ((92) près de la défense)) elle n'appartient pas au sérail et semble être mis à l'écart (je le découvrirais plus tard) par les autres étudiants de cet établissessement universitaire renommé de la capitale. C'est tout ce que je savais d'elle. Elle était jolie bien que petite et aux os épais et avait du caractère car pour s'être tenus tête, une ou deux fois, nous avions confrontés nos positions. Elle était la besognieuse, j'étais le nihiliste. Pour ainsi dire, elle semblait vouloir incarner une marine le pen, j'étais daniel cohen-bendit. Puis, en octobre 1988, Fred m. partant faire son service militaire, peu de temps après, je finis par lui téléphoner ou c'est elle qui me téléphona pour aller au cinéma. A notre retour de la salle obscure, dans ma petite chambre de bonne, elle m'attrappe la tête et m'embrasse. Quel effet ! Moi, plutôt content car ça commençait à faire longtemps que cela ne m'était pas arrivé. Ce que je comprendrais plus tard, c'est qu'elle collectionnait les mecs, à un ou à deux et elle ne voit en moi qu'un amant. Quand je l'interroge sur notre relation, elle m'explique que tout a débuté le 17 janvier, ce qui en dit long car en fait, cela a commencé en novembre 1988 et elle sait avoir des rapports charnels agréables. Elle se donne totalement, ce qui est pour moi nouveau. Ses caresses intimes sont à mon endroit très sensitive. Nos rapports deviennent vite une sorte de drogue douce avec lesquelles l'on peut en être dépendant et elle le sait, je n'ai aucune maturité sexuelle et pour cause, la simple raison c'est que, ni ma mêre (pour des raisons obscures) ni ma soeur (pour des raisons cognitives) ne m'ont expliquées quoique que ce soit sur les filles, (Je ne connais ni leur façon de fonctionner ni leur sexualité). Lorsque, j'évoque avec fred, le nouveau shéma de ma relation avec Sophie, il est hors de lui et s'en va furieux en se croyant malin de me laisser un petit cigarillo à moitié consumé dans mon cendrier. Abrutis Aï Sombréro. Moi, j'ai une réflexion sur ces deux oiseaux, car entre vous et moi, ce n'est pas une surprise. Nous sommes en janvier 1989, j'entretiens toujours une relation amoureuse avec Sophie et tous les week-ends, c'est la fête du slip et je suis bien travaillé du jupon dans toutes les pièces de l'appartement que j'habites quand mes parents sont à la campagne. Je bois pour oublier les amants de ma femme, un, voir deux wiskys et zou capitaine, et une fois avec un rapport inaproprié ce qui s'appele selon une vieille rêgle française le"chaud-froid" et ça se joue à la force des baïonnettes, sous la chaleur des tropiques. Il m'arrive de vouloir refusé le combat, elle m'y engage, si je puis dire et elle m'en persuade avec des arguments, très doux, très difficile à refuser quand c'est imposer par voix orale. J'aime beaucoup ça et qui n'aimerait pas ça, à 22 ans ? Nous partons en week-end en hiver dans la maison de campagne familliale, c'est un vrai plaisir, je lui avais dis qu'elle l'aurait ses deux milles mètres carrés, elle, la battante. Je fini par l'apprécie beaucoup, encore plus que précédement quand notre relation était platonique avec fred, elle et moi, quand j'était seul. Elle entretient une dualité et un silence vénal (une sorte de : j'attends que tu parles pour te répondre) et d'après ce que je saurais sur elle, c'est que son père travaille dans une grosse entreprise d'assurance française en tant qu'informaticien. l'UAP, un nom qui ne mets pas étranger car je sais que ma tante Michelle C. dispose de quelques actions de l'entreprise, serais-ce un hasard, si elle s'est rapprochée de moi ? Serait-ce un hasard si ma grand-mêre semble tant l'apprécier ? Par ailleurs, elle m'invite chez elle à Courbevoie avec sa mêre, ses parents semblent très religieux, une sorte de chrétienté teintée d'un fort penchant sur l'astrologie, ça bouffe à toutes les croyances. Cette fille, c'est une époque à elle toute seule, on dirait , celle d'une affiche de publicité pour le 3615 ulla, ou le service minitel des deschiens, le 3615 kinenveu, à travers la volonté de gravir les cieux des classes sociales supérieures en baissant sa culotte. Mais, elle arrive au bon moment dans ma vie, c'est ce qui fait le plus mal et après une bonne première année de cours de 1987 à 1988 dans mon école de communication vidéo, je gâche la seconde de 88 à 89 à cause d'elle. Ce qui ne faut pas occulter, dissimuler, c'est que sa meilleure amie fréquente un jeune professeur de tennis de 25 ans au Racing Club de France qui est une sorte de club de sport huppé de la capitale. Vous savez de qui cela est proche, le Racing Club ? Je vous le donne en mille, Jean-Luc Lagardère, PDG du groupz Matra cité plus haut. Car qui était proche dans mon histoire des sociétés de Jean-luc Lagardère ? Guillaume et Régis et leur famille pour ne citer qu'eux. Donc, tout s'enmêle, tout s'entremêle, là où ce n'est peut être pas un hasard, cette affaire. Un soir, alors que Gilles a., Pierre h., Laurent f., Sophie t. et moi c.s sont réunies, nous partons boire un verre dans Paris. A notre retour à pied, Gilles et Sophie semblent se faire les yeux doux et se draguer l'un et l'autre. Interieurement, je fulmine car après un verre d'alcool, je deviens tendu, sur les nerfs, ce qui est nouveau dans mon comportement. Retournés à l'appartement, je lui fais une petite scène de jalousie, elle part dans des explications peu plausibles, je boue pour ainsi dire, pendant un moment et soudain, je la prends par la taille, alors qu'elle est nue et cherche à la mettre sur le palier. Elle se débat, me griffe, je cède sous sa virulence, elle court chercher un couteau de 30 centimètres dans la cuisine et me menace. Je calme le jeu, tout le monde se calme, nous sommes tous les deux nus dans la cuisine, il est une heure du matin. Nous sommes passées à coté d'un drame, J'ai quelques érafflures venant de ses ongles, sur le corps, mais c'est tout. La voisine du dessous au cinquième étages ira dire, après, à ma mêre qu'elle a entendu crier "maman!" vers minuit, c'est faux, Sophie n'a pas crié. Mais cela ne m'étonne pas à posteriori, le témoignage de cette femme qui entend des voix dans la nuit dans un immeuble bourgeois bien insonorisé. Plus, tard dans les semaines après, je souffre des dents, mon dentiste, son cabinet est dans la même rue que la notre mais chiffres impairs. Elle m'extrait un bout de racine devenu sensible, elle m'indique de ne surtout pas boire d'alcool pendant trois jours, nous sommes jeudi, le vendredi, je dois partir passer le week-end à la campagne avec sophie. Le soir, je l'invite dans une petite créperie à Houdan (78), nous sommes en février. Idiot et confiant je prends du cidre à boire, peu après le repas, j'ai de forte chaleur et fais une réaction cutanée, l'ont part en catastrophe à l'hôpital de Dreux (28) l'on me fait, une piqure, ça me soulage et l'ont retourne dans la maison. Nous sommes en train de nous séparer, je l'invite à ne pas faire, ni lit, ni chambre commune. Elle s'installe dans la chambre jointe à la mienne, je m'installe dans la mienne. Elle me rejoint en prétextant qu'elle a peur. Elle s'installe dans le lit double, je m'endors. Le lendemain matin, elle est réveillée avant moi et porte un jogging rouge vif. Quelques jours plus tard, c'est la rupture alors que je ne l'ai pas touché depuis au moins 15 jours. Par la suite, d'après ce que je saurais d'elle, c'est son départ aux pays-bas avec un Néerlandais collectionnant les unes après les autres, les voitures de sports et entre deux dépression cela lui conviendra parfaitement. Je lui écrirais une fois, elle me rappelle, nous échangeons quelques mots et dans la précipation des affaires courantes sur son lieu de travail, je perd sa trace. A bientôt. Nous nous reverrons elle, fred, son copain des pays-bas et moi celui dont elle avait trouvé ou répété le surnom: "l'agité du bocal". Dans mes agitations de l'époque, elle va m'avouer que deux types lui ont fait fumer de l'héroïne ou de la coke et comme elle n'avait jamais prit de drogue, elle sera transporté aux urgences d'un hôpital. Elle va en garder des séquelles neurologiques, ce qui peut être, va la plonger dans des dépressions répétitives, elle m'expliquera que ces deux ordures vivaient dans des magnifiques appartements, mais elle ne me dira pas, si c'était près du métro Wagram. Elle semblait avoir peur de devenir folle, d'après ce qu'elle me dit, je la crois. Quelques années plus tard, je lui écrirais une fois, elle me rappelle, nous échangeons quelques mots et dans la précipation des affaires courantes sur son lieu de travail tout s'agite en raison du marché et des stocks options, à la suite de ça, je perd sa trace pendant vingt ans.
Pour finir, à partir de ce moment, je commence à ne plus pouvoir dormir convenablement. Peut-être tout simplement parce qu'il semblerait que je sois le perdreau de l'année et d'une manière ou d'une autre, après le renseignement; Pour me neutraliser, l'on me prive de sommeil
CS-26/12/2023
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