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VERITES ET REALITES
N'oubliez pas la mise à distance...
23/02/2023 08h00
Un rite obscur
Il existe une partie de l'histoire depuis le monde antique qui a échappé au regard des civilisations mais peut être pas à celle des historiens. A l'origine ésothérique et non écrite, ce sont des pratiques et des manifestations que l'ont retrouvent dans certaines famille françaises et qui ce sont perpétrés au fil de notre histoire jusqu'à être encore, aujourd'hui une réalité avec encore certains cas. Selon ce que la science a observé (chercheurs en archéologie) ces manières très discutables et ces comportements récurants dans la manières d'élever des enfants se traduisent et se manifeste dans des unions mélant deux sangs distinctifs, probablement "étranger" (pas la même tribus, villages ou pas le même groupe d'individus).


Le partage particulier
L'on peut imaginer, que dans les cas qui nous intéresse, ce devait être un apport de sang mélés (origine métis, tribus nomades) en particulier des individus masculin et par ailleurs, l'une des femmes ou filles venant des clans sédentaires (clans cultivateur et éleveurs). En tout cas, ces modes d'unions pour aboutir à la procréation débutent à des âges anciens que je ne suis pas en mesure d'évaluer, de façon tout à fait précises. Cependant, c'est une période, avant l'antiquité et pendant l'hégémonie du pouvoir Romain qui sera chambouler par le christianisme, il y a plus de deux milles ans. Une période qui peut se situer avant l'arrivée de la chrétienté sur l'europe. Je veux rester prudent car ma découverte, doit être appuyer par des constatations historiques et scientifiques qui se rejoignent à travers la théologie et la sociologie et qui je l'espère peuvent donner lieu à un débat, voire un éclairage médiatiques.


Stygmates et handicaps
Les rares détails que j'ai pu drainés sont pour l'instant des stygmates, des marques, des attributs particuliers que l'on retrouvent sur des individus femmes et hommes à travers les âges jusqu'à nos jours (Février 2023). Ces phénomènes semblent délicat à aborder pour les individus qui les ont perpétués depuis plusieurs générations et le caractère "secret" du principe demeure avec la transmission orale qui se transmette, de mêre en fille avec le culte du secret devant avoir une imperméabilité à toute épreuve. En fait, d'après mes connaissances du sujet et selon ce que j'ai pu observer, il semblerait que certaines marques visibles (stygmates) reposent sur des caractéristiques précis et qu'ils signalent par leur présence à une hiéarchisation précise déterminée dés la naissance. Les enfants de ces familles, sont en quelques sortes "marqués à vie" avec des traces indélébiles qui corespondent à un statut social précis. Pour faire court, "les bâtards appartiennent, toute leur vie à la caste des esclaves". Infligés aux nouveaux nés dans les premiers heures de leurs existences après l'accouchement, ces pratiques sont effectués peut être, par les sages femmes ou aux religieuses ou à la mère ou la grand-mère des nouveaus nés.


Le signe de "l'esclave"
Comme avec un simple produit manufacturé, les enfants selon leur rang hiéarchique doivent subir avec ce qui devient dans certains cas un handicap partiel précis qui va des oreilles décollées, les problèmes de vue, des traces sur la peau ou sur le front (traces d'ongles, comme des griffes de haut en bas). L'on peut aussi retrouver d'autres traces indélébiles, en particulier, sur les ongles des deux pouces et leur matrice. Par exemple, ces marques irréversibles sur les mains en particulier sur les pouces que les individus gardent pendant toute leur existence ressemblent chez certain à une sorte de gondolement informes et indélébile. Ils renseignent l'entourage proche comme les autorités du pouvoir l'appartenance à la caste des esclaves. Parmis les autres individus venant de la caste supérieure ou inférieure, il s'agit ici de définir une appartenance où partout sur le territoire, ces traces se rappellent à vous, socialement et où que l'on soit, votre condition s'impose à vous, comme la caste inférieure, en un mot, l'esclave. Au delà du signe révélateur de votre rang, il informe autrui d'un sang impur. Dans les civilisations ancestrales d'europe et d'ailleurs, très vite, l'on retrouve des signes de consanguinité notamment dans les endroits difficiles d'accès, ce qui amène pour le chef de clans, dirigeant les familles de la tribu a être confrontés à des problèmes de survie des races avec des signes comme par exemple "les yeux bleus". La dégénérescence de la consanguinité s'invitant par un effet isolationniste ne peut survivre face à des problèmes médicaux important, d'où la nécessaire et obligation du mélange entre les individus de différentes tribus, villages ou croyances.


Survivre face à la science
L'on trouve à la fois d'un côté des problèmes médicaux dû à la consanguinité comme l'apparition sur les sujets d'une peau d'une extrême blancheur dans les peuplades du nord et pour les "métis" du sud, des phénomènes de "grains de beauté" et de "tâches de vins" en surnombre sur la surface de la peau. En conséquence, pour "mélanger" et éviter la dégénérescence et donner un avenir à la tribu, au groupe, aux clans, à la civilisation. Se pose l'impératif du devenir pour créer le partage et par la même, forcément le mélange raciale pour l'avenir et la pérénité des générations suivante à la botte du pouvoir hierachique. Au delà du simple stygmate, l'on a inventé l'esclave ménagé à travers au départ, l'enfant dans la famille et le modèle social adapté à son rôle d'adulte, orchestré tant par le père avec une conduite précise obligatoire et corespondante aux valeurs et au dogme de la tribu qui l'accueille (celle de sa compagne) et soumit au pouvoir de la cité qui l'acceuille avec des méthodes coércitives ou pas. Autrement dit "marche bien ou crève" dans le meilleur des cas.


Le dogme et l'obligation de survie
Tout cela s'inscivant avec les personnages à l'initiative de la perénisation du dogme, qui eux, gère la condition, le rôle des enfants et le rang des enfants du couple avec la famille de la mère (frères et soeurs) gèrant les biens de celle-ci, dans la toute puissance des dominants face aux enfants devenus esclave. L'extrème apretée de leur condition de vie auxquelle ils sont confrontés ne leur permet pas d'accéder à l'instruction, la paupérisation physique et leur condition d'esclave leur impose une soumission totale et imposé; c'est une question de survie dans leur chemin d'adulte avec toujours des handicaps, des stygmates qui les empèchent de toutes les indépendances financière.


Premier handicap
Parmi, les handicaps auxquelles ils sont confrontés dés la naissance, le plus fréquent reste la vision occulaire attribués à la plupart des enfants de ce type de famille, le handicap est tel et irrémédiable (les prothèses de type lunettes, ou lorgnon ne sont pas encore inventés) que les intéressés sont soumis à un destin peu enviable détruisant tous les espoirs d'autonomie et d'instruction avec par la suite une limitation professionnelle, il n'existe pas d'alternative en dehors des formes d'esclavages et les côtes africaines, sont encore très lointaines. Donc, la main- d'oeuvre, il faut la trouver et les unions sont les bienvenus pour ceux qui affluent de toutes parts sur les continents, offrant une possiblité de bras neufs, tant pour la construction, tant que pour faire la guerre ou le simple fait d'alimenter par le travail au champs, une perspective d'un demain immuable.


Pour Les femmes et pour l'émancipation du monde
En ce qui concerne les filles dans ces familles, leurs rôles, si elles disposent d'un physique plaisant reste avant tout la sensualitée des rapports charnels quand ce n'est pas la prostitution, ou les mariages arrangés avec ce que l'on appelle la dote, la particule ou les biens et qui va permettre souvent un accord d'ordre sonnant et trébuchants, ce ne sera que bien plus tard que l'émancipation va leur permettre d'accéder à plus d'indépendance avec toujours l'instruction qui dans tous les cas permet de sortir de l'équation et du dogme familliale, perpétrés par la mère et la famille de la mère. C'est ainsi que ce façonne la contrainte de la double réalité la maman ou la prostitué dans le cadre de la famille qui ne va cesser d'évoluer au fur à mesure du temps. Le changement et la remise en cause du système sera considérable au cours du XXème (20èmes) siècles car les moyens de communications et les transports aidants se démocratisent sur toute la planète. La presse, l'audiovisuel, les médias, l'information va permettre à une révolution en marche qui au départ grâce à l'écriture et l'édition va changer le monde et le rapport qu'entretient les populations et l'intérêt qu'ils portent pour le monde entier. Toutefois, les réflexions devenant question, elles sont souvent encore portées par la proximité géographique des humains entre eux et ni la religion, ni souvent le pouvoir en place ne souhaitent accélérer le processus de la délocalisation.


Au coeur du débat, l'instruction
L'instruction est un pouvoir qui se transmet chez les riches et les puissants, la population courante reste négligeable. Avec, toujours cette perspective en tête de disposer d'un avenir répondant conformément au pouvoir, à la sécurité, aux croyances et aux problèmes relatifs à la natalité. Cette volonté dogmatique va perdurer dans le cadre de civilisation païenne répondant par des mythes (comme par exemple Romaine) avec un dieu, qui deviendra unique chez les chrétiens et cette notion perdure jusqu'à nos jours. Quand la génération du savoir bouleverse la génération du pouvoir, tout est remis en cause, doucement, sûrement, dans l'optique et la perspective, qui il faut l'imaginer est un monde où la science devient une vérité et une réalité plus juste


Le vol de ce texte ou sa modification sera considéré comme thérapeutique pour les abrutis et les fainéants
christophe.simoni@orange.fr, toutefois, la dernière mise à jours date du 01/04/2023.CS
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