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LE JOURNAL
08/02/2023 12h05
Je commence ici, l'épisode sur "La Folie III". A cet instant, il y a du changement dans la phase opératoire et le cours de ma vie à Deauville. Il y a un problème de médicament avec le risque que j'atterrisse à l'hôpital de Caen. Les comprimés que m'apportent chaque jour les soignants n'ont plus le même aspect extérieur et le gout et des deux cachets rose Risperdal 4 mg, par jour l'ont cherchent (les infirmiers et infirmières) à me faire croire que les médicaments remplacants (apparence vertes, intérieur blanc) sont identiques concernant la molécule qu'ils détiennent. Je reste perplexe car après environ huit jours, mon sommeil est perturbé. Il faut compter 3 semaines, pour ressentir, les modifications de son état physique et mental et je ne veux pas attendre car mieux vaut prévenir que guérir et je connais bien les premiers symptômes qui précèdent avant une hospitalisation qui se veut nécessaire et imposée de fait. Donc, j'ai été ferme, je ne veux pas les nouveaux cachets placebo, je veux les anciens comprimés quoiqu'il en soit.

Ce discours concernant le "c'est toujours la même molécule dans ce médicament". J'ai posé le problème à ma psychiatre (sur son répondeur téléphonique) elle ne répond pas, elle ne me rappelle pas et elle ne s'engage pas, comme une grande muette.

Pour commencer les circonstances au départ de ma maladie (avril 1989) sont opaques et cela dure encore aujourd'hui. C'est probablement dû à un empoisonnement.

Il est certain que l'objectif est de m'hospitaliser à nouveau, mais je ne vois pas, pourquoi, avec les bons médicaments, une bonne alimentation, sans aucune fumée et sans alcool, avec même un passage moins difficile, qu'il y a quelques mois (décès de mon frère et de mon père). Pourquoi devrais-je avoir à fréquenter à nouveau un centre hospitalier où je n'ai pas mis les pieds depuis 2016 et comme disent les militaires anglais "This is not an exercice, it could be a drill" (ce n'est pas un exercice, cela doit être une manoeuvre). Nous ne sommes pas en Russie, (enfin pas encore...tout à fait) et j'observe surtout qu'il y a une volonté politique de me placer en dehors de la piste ou en cherchant à me pousser à la faute, et pour cela, je ne suis pas dupe et tout à l'heure, si cela devait continuer, je vous expliquerai, pourquoi...

Après deux jours de discussion, depuis 48 heures, la situation est redevenue comme avant, avec les bons cachets et visiblement Internet, ça sert à quelque chose, comme par hasard...et j'y veille



03/04/2023 12h05

Ce que j'ai pu mettre en avant, il y a 2 mois, a fait que la transition d'un médicament à un autre et que l'on m'avait imposé, comme un fait accomplit. Un détail sur lequel, je ne pouvait pas revenir. Ca concernait le "risperdal" et du "médicament générique" l'ont soit passé à l'original, sous la houlette de la pharmacie Anglaise à Deauville, la cause du motif du changement serait une pénurie commerciale. Un manque de stock à l'échelle mondiale. Alors pas de doute à avoir, la dragée passe bien sûr comme une lettre à la poste puisque c'est supervisé par une phrase de commentaire que j'imagine sur les réseaux sociaux et un filet d'information sur les chaines de télévision qui se prètent au jeu. Pour cette épisode du "risperdal", il y a deux mois, pour l'instant, c'est un peu plus tranquille et c'est terminé mais attendez la suite...

Maintenant, après le risperdal d'il y a deux mois maintenant, c'est pour une autre pathologie qu'un des médicaments est différent mais toujours, délivré par l'infirmerie de la "maison médicale", un établissement avec plusieurs médecins, dont la mairie et le conseil régional ont étés à la manoeuvre pour sa création. L'on reconnait ici, la pression évidente que le maire de la ville, peut avoir exercer sur le fonctionnement et le déroulement des évènements qu'ils s'y passent. Envisager, que je sois un "client" particulier, tout est possible...Toujours est-t-il, que depuis ce nouveau comprimé, peu à peu, les troubles de la mémoire, s'intensifient et le rythme de mon irritabilité varit très vite. Cependant c'est aussi après mon abscence de l'appartement, quand revenant à mon domicile, il me faut absolument faire des courants d'air dans la pièce, sinon, je ne suis plus le même, mais est ce que j'ai une gueule d'atmosphère. En dehors de ça, j'ai l'exubérance des gens heureux, un moral qui va et qui vient comme la queue du chien.

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