Quand j'observe les discours du 21 février 2023 de Vladimir Poutine et Joe Biden, il y a quelque chose qui vous saute à la figure et, chose miraculeuse, la souligner tellement c'est flagrant, tellement, c'est marquant. Chez Poutine, c'est le coté papier à musique, monocorde qui inlassablement marmone son propos, distille son message...Et puis en comparaison, dans le discours de Joe Biden l'on observe la dynamique américaine et son truchement, une sorte d'envolée lyrique qui reste le reflet d'une amérique du far west, enthousiaste par toutes les pores de la peau.

Aujourd'hui sur les ondes et les câbles des télévisions du monde entier à Varsovie comme à Moscou "show must go on".

Chez Poutine, l'histoire (Les années 1990) sont celles dont il veut faire se souvenir les russes. Espérons que la volonté de préciser la chose suivante, soit destiné à la population Russe. Un méa culpa de la part de l'europe de l'ouest et ça et il faut rappeller le quasi zéro mort qu'a engendré l'effrondrement de l'union soviétique. Dans les pays satellites et les anciens territoires de l'urss et en allemagne de l'est. Donc, ça, c'est à garder en mémoire, malgré la vindicte de Vladimir Poutine oubliant, ce détail de l'histoire au combien parlant car désormais, c'est un flot d'aggression qu'il n'a pas cessé depuis, en cherchant à reconquerir les territoires de l'urss. Il est regretable qu'il n'entende pas la volonté de paix et d'un cesser le feu en ukraine. Laquelle des limites doit-on atteindre pour la désescalade du conflit Russo-Ukrainien ? Pour l'instant, ce qui entraînera le pire, ce sera la violation du respect de nos frontières.

Nous avons entendu Vladimir Poutine, Joe Biden. Dans l'ordre, Le char, la cavalerie. Mais, dans ce combat de maître du monde, où se trouve la raison qui implique la responsabilité de vouloir garder notre planète vivable, agréable, conviviable. Il n'y a pas de choix, si l'on dépasse les bornes, il faut s'attendre à tout et se rappeller des principes immuables qui en dépendent et aux conclusions qui les commandes.