Il y a, des évènements qui sont étranges, voire, très étonnant dans la vie des hommes politiques. Et ce, d'ailleurs, dans tous les positionnements confondues qui va des extrêmes, comme parmis les plus modérés. Voici ce qu'il faut retenir avec ce qui fut peut-être une sorte de "lynchage médiatique" rapide faite à Adrien Quatennens; le député de "La France Insoumise" du nord de la france.

Il y a encore peu de temps, Adrien Quatenens, le député LFI était exclu de l'assemblée nationale pendant quelques semaines avec pour motif, le fait d'une altercation avec sa femme. A la suite d'une rude explication aboutissant à l'usage de la violence, sa femme dépose une main courante auprès de la police, après avoir été "sécouée", pour faire simple, par le député. Les lieux de "l'agression" se trouvent être dans leur maison et à la suite de ça, le discrédit et la responsabilité de l'homme politique va être reconnu entier. Alors que l'hémicycle ne fait qu'un pour le bannir, le résultat de l'enquète et la vindicte des élus, le condamne au silence et aux soins pendant quelques semaines, hors de l'enceinte de l'assemblée. S'il avait été question qu'il deviennent un jour candidat aux présidentielles, c'est terminé; Il ne pourra jamais avoir accès à cette élection car, avec ce "pépin" de la taille d'une carotte, plus jamais personne au sein du parti, comme en dehors ne pourra plus le considérer comme ayant la moindre chance de pouvoir envisager une nouvelle place de cet acabit sur l'échiquier politique. Dans le jargon des militaires, il est "neutralisé", "hors de la course", pour faire plus simple.

Mais reprenons les faits qui lui sont repprochés. Avec sa femme, dans la maison qu'ils occupaient, ils se disputent, puis le ton monte et l'impondérable évènement tragique se produit. Le passage à l'acte malheureux s'enclenche et ensuite plus possible de revenir en arrière. Ne faut-il pas voir dans cet évènement, non pas un coup du sort ou une démence passagère mais plutôt une petite manipulation dans le climat d'une atmosphère qui entraîne une attitude déplacée, une petite saloperie dans l'air ambiant, des mismes provoquant la colère et où les esprits s'échauffe jusqu'au pire, rien de plus, rien de moins. Car, en ayant exacerbé les esprits, les effluves d'un produit de synthèse pulvérisées dans les lieux quelques minutes auparavant peut déclencher ce type de problème et cela provoque l'incident avec pour tristes conséquences, l'irréparable. C'est ce type de scénario à circonstances qu'il faut, peut être retenir.

Prenons mon cas personnel et évoquons le; Pour l'avoir ressenti dans mon appartement, j'ai souvent eu la sensation de supporter des "humeurs mentales différentes". Elles sont apparues souvent alors que je revenais de mon domicile après m'être absenté. Même seul, j'ai ressenti une forme d'état mental artificielle qui se résume, entres autres à de la colère, etc etc (il existe d'autres formes). Comme par hasard, la gaine d'aération de l'immeuble passe par mon appartement et ce trouble s'est manisfesté, souvent, l'été dernier. Que répondre à ça...Que ma vraie identitée est : "Don quichotte de la Mancha" en ayant pour habitude de me battre contre des moulins à vents ? Connaissant l'histoire, je ne suis, pas encore "le dernier perdreau de l'année" et si dans mon dos et dans mes pénates, l'on saupoudre ou vaporise un produit chimique particulier aux effets délétères dans mon appartement, je ne serais pas surpris...

D'ailleurs, ce qui a fait sortir Adrien Quatennens de la tranquille et paisible vie qu'il entretenait avec sa femme a peut-être été le fait d'un obscur calcul l'ayant abattu en plein espoir et avec pour résultat, sa mise hors-jeu du terrain politique. D'un exemple, l'on en trouve un autre et je ne serais pas surpris, s'il était question de deux cas similaires: le mien et le sien. Cependant, en ce qui concerne mon désir de gravir le Mont-Elysée, cela ne corespond pas à ma volonté du jour. Mon piolet encore pour l'instant me sert à escalader une montagne toute aussi splendide qu'elle est sensible à la fonte. CS-07/12/2023