En bleu maman et derrière elle, une petite fille Christine et Nicolas (père) sur le matelas et mon père comme un idiot prend une photo (clic...)
La famille O.
Le 11 juin 2025, par christophe simoni
Histoire de famille
L'histoire ne serait pas complète si je ne vous parlais pas de la famille O. qui avaient étés des "amis" d'adolescence de mes parents. La configuration de cette famille est un peu différente : Christine O. la mère et Nicolas O. le père ont eu trois enfants : Nicolas O. l'ainée, Catherine O. l'intermédiaire et pour finir Olivia la cadette un peu plus jeune que moi. Ces gens étaient plus qu'à l'aise en matière de revenus aussi bien venant du père que de la mêre, l'une faisait partie d'une vieille famille un peu aristocratique et l'autre était un russe blanc dont la mère étaient allemande et le père un russe blanc ayant fuit la Russie avec la révolution bolchévique. Après la seconde guerre mondiale ces gens ont commencés à gagner beaucoup d'argent, mais vraiment beaucoup d'argent. Je n'ai rien contre. Toutefois, si c'est pour acheter des passes droits et s'offrir le luxe d'enfeindre la loi, là ça coince.
Ces deux familles avaient partagés la joie et la bonne humeur des dîners au restaurant mais mes parents étaient un peu considérés par les deux autres comme leurs pauvres, ceux que l'ont fréquentait quant il n'y avait rien à faire de spécial, les amis de complément et les enfants jouait ensemble...Un peu. les âges étaient semblables mais le niveau et l'éducation vraiment différente et puis ils habitaient Neuilly sur seine, la banlieue très riche, le holywood de paris et nous Porte de Champerret, ce qui était évidement beaucoup moins distinguée. Le fils ainé, Nicolas n'avait jamais travaillé de sa vie et ce que je savais, c'est qu'il était le roi des cons. Catherine s'était marié à un francais et elle était probablement la moins conne pour travailler des textes en russes et quant à Olivia, elle était une petite saloperie mauvaise comme la gâle qui me prenait de haut comme étand le cas social de notre famille. De fait, c'était le cas, mais moi je travaillais derrière mon ordinateur alors que ça cachait chez nicolas (fils), la plus cruelle des raisons.
Pour revenir sur Nicolas le fils, à sa sortis de son service militaire, il se scarifiait les avant-bras et probablement avec la complicité d'un médecin véreux, il a finit à la Cotorep, ce que l'on appelle maintenant la maison départemental du handicap. Il obtient une allocation et ne travaillera jamais en attendant l'héritage des parents et des grands-parents. Et à noël les cadeaux s'était souvent des lingots d'or. Nicolas le fils a eu une fille et à 25 ans passait son temps à boire des bières dans les bars des hôtels. A n'en pas douter et d'après ce que je sais, rien à voir en comparaison face à mon frère un peu plus jeune que lui car nicolas était beaucoup moins courageux. Mais ces gens avec du fric, inondait tout. Du Touquet jusqu'à neuilly, eux et leur petite famille. Et ça boursicotait, ça grattait encore et encore toujours un petit sous de plus.
Ce qu'il y a de très curieux, c'est l'histoire un peu paralèle qui va se jouer entre les deux familles, mais dont les moyens sont particulièrement différend et surtout la condition et le contexte des secteurs où mon père s'est élevé dans sa carrière professionnnel, mon père s'est fait tout seule et nicolas le père de la famille a hérité de la société paternel. Heureusement l'un et l'autre ont toujours travaillé mais mon père lui, n'avait aucun parachute pour nous faire survivre en cas de chutte. et en fait les faits les entreprises dans laquelle travallait mon père (privé et européenne) était concurente d'un groupe public français dont la famille o était plus proche (sérail et particule) Mais où sont les meilleurs ?
Cette hyprocrisie reposait sur le fait que mon père à 50 ans eut une très bonne mission et a remplit le contrat avec un groupe espagnol. Et que Nicolas père sitôt à la retraite va "mourir ou pas" d'un cancer fulgurant, ce qui est possible mais pas forcément la vérité. Ce qu'il faudra retenir c"est que mamie christine a récupéré le jackpot sans se poser de question et un beau jour à disparu dans la nature et le téléphone sonnait dans le vide. Circuler, le numéro que vous avez demandé n'est plus attribué, comme conclusion à apporter.
En fait, l'histoire entre les deux familles depuis leur adolescence est plus glauque car nicolas père à probablement eu une liaison avec maman et les draps ne devaient pas être très propre. Ils considéraient ma mêre comme une conne, ce qu'elle n'est pas et ce type devant nous (papa et moi) nous a quand même donné la traduction en russe d'un mot comme les russes savent le dire: "enculée sans savon au préalable". Ce qui n'ait pas bien ni recommandable.
Dans mon parcours chaotique de vie, c'est à deux ans que les problèmes commencent à se poser. En 1968 (j'ai deux ans) et je suis probablement empoisonné pendant nos vacances en Espagne, cerveau touché mais pas coulé et je sais maintenant ce qu'il s'est passé et de mon handicap, je n'en fais pas commerce. Mais des problèmes se posent et je suis encore sur une terre ennemie (La région couverte par les LR et les RN) et les obus tombent sur moi. Mais pas question de laisser ce genre de chose se dérouler ainsi, la justice et le devoir vallent mieux que le fric et je n'ai pas à rougir de mon innocence. Fauché à deux ans, ils vont remettrent le couvert quand j'en ai 22 ans aux USA avec une maladie artificielle valable à un instant T, pas question de tolérer ça même si autour de moi les canines raillent le carrelage. Alors bonjour chez vous...Et pas question de partir, quelque part sans ma mère.
Les O. sont probablement au Portugual pour siffler leur héritage, tranquille au soleil sans trop d'impôts pendant qu'ici c'est le règne de la garde civile avec les LR et le RN en patrouille avec canal plus et cnews et interpol ça existe. Mais avec les atmosphères et les miasmes décritent dans les textes précédents, il est temps de mettre mon masque car je sens bien le rôle mais si ça se termine en suicide, ou en meurtre méfiez-vous.
CS-11/06/2025
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