Je descend de la colline...

Allez les gars on y croit encore une fois, comment ça va ? moi très bien mais j'ai peur que votre cote ne soit au plus bas, d'avance, je sais que vous ne ferez pas le poids fasse à ceux qui croient en moi. euh euh euh (rire, c'est le rire de la réclame Tatoo, vous savez, le rire à la Philippe Seguin avec "Rendez vous au lac") Allez pas d'obligations entre nous, laissez vous aller. Tout va bien, non ? aucune surévaluation dans votre titre de "couillons pas comme les autres" oh je suis méchant, et bien j'mexcuse m'sieur, faut bien qu'je vive moi. On ne peut pas dire d'un requin qu'il est méchant parce qu'il bouffe un mérou. Qui donc va venir vous sauvez ? Luc, luc, luc, vient nous sauver, protège-nous avec tes gros missiles. Oh c'est votre mère qui doit être contente. Pas de doute, si ce type là bouge, il va avoir la berlue. A sa place, je resterai tranquille. Moi pour le moment, je vais vous conservez, du mérou en conserve, mummm, c'est bon ça et puis du beurre, oh oui du bon beurre frais. Vous savez, je crois que cela va vraiment faire mal quand je poserai mon petit poids de deux grammes sur votre tête. Ouille, ouille, ouille, ça va tomber. Il faut au moins peser deux grammes pour faire tomber un château de carte, non ? Remarquez, depuis le temps que je vous préviens, je vois difficilement comment vous pourrez venir vous plaindre. Allez essaye encore, "Comme la promotion de Venise, mets les dessous de table sous ta chemise, ça te va si bien..." C'est étrange avec vous, il ne faut pas avoir peur de se répéter. Ca va de pair avec vos invités et si on ne les voient pas deux où trois fois dans l'année, la formule bat de l'aile. Vanités, vanités c'est cela qui vous fait trébuchés. J'imagine que tous les gens sont comme ça. Friedrich me la appris, tous les jours je me le dis et je me le redis. Si vous aviez plus d'esprit, vous ne seriez pas tombé dans le panneau. Je descend de la colline, je descend de la colline. Oh le funambule...je promène le funambule, je promène le funambule. Je l'ai déjà dis : Le supplice du Pal qui commence si bien et qui finit si mal.